1) L’abstinence Temporaire ou jeûne sexuel, Des relations sensuelles, plus conscientes, plus connectées, plus agréables •« Partir pour mieux revenir ». En quelque sorte, voici la promesse du jeûne sexuel. Cette approche de la sexualité consiste, comme son nom l’indique, à s’abstenir d’avoir des rapports sexuels avec son partenaire pendant un certain temps, avant de reprendre une vie sexuelle « normale » par la suite. Selon la fan du jeûne sexuel Kourtney Kardashian, le temps idéal d’abstinence est d’un mois, mais on peut commencer à parler de jeûne sexuel à partir de quelques semaines. Durant cette période, aucun ébat au lit ! Ça peut paraître un peu brutal, voire étrange (n’est-ce pas ?), mais cette abstinence aurait de nombreux bienfaits. Le principal est l’amélioration des rapports sexuels en général. Avant la reprise, l’excitation est à son comble, et d’autres pistes pour se faire plaisir intimement apparaissent. « Une pause planifiée pourrait se traduire par des relations sexuelles plus conscientes, plus connectées et plus agréables, en apprenant à connaître votre partenaire à un niveau encore plus profond, vous favoriserez un lien intime plus fort »
•Une meilleure connexion, une meilleure relation
Pour les hommes, cette absence d’éjaculation des études peut augmenter les niveaux de testostérone (et de facto notre libido, comme des études l’ont prouvé) et donc améliorer notre humeur ou encore gagner en énergie.
Pour résumer la relation gagne plus de joie de vivre, de la confiance en soi et mutuelle, un meilleur pouvoir de séduction et une maîtrise de soi qui renforce l'estime de soi.
2) Cessation des sites pornographiques
Très souvent le porno endommage des individus ainsi que des couples et constitue probablement un des pires fléaux de notre génération. Vous ne le saviez sans doute pas mais en visualiser régulièrement on souvent pour conséquences : d'établir une forme d'addiction, une nette diminution de l'empathie, de l'intelligence sociale et du bien-être en général.
Un des problèmes de la masturbation est qu'elle est très souvent associée au visionnage de films pornographiques et contribue au processus dans lequel l'individu est relayé au rang d'objet de consommation. Les problèmes les plus fréquents sont la désocialisation et l'anesthésie de ses émotions (anhédonie, apathie), faisant de nous des êtres intérieurement vides. L'excès de masturbation occasionne également une perte de temps et d'énergie considérable qui nous freine dans notre développement personnel. En cessant le visionnage de site pornographique, vous allez "transmuter" cette énergie sexuelle en quelque chose de plus utile comme l'apprentissage de nouvelles choses, le lancement d'un nouveau projet etc... Et qui sait, peut être contribuer à changer le monde dans le bon sens.
3) L'asexualité Premier rappel : les Asexuels représenteraient 1% d’entre nous, et disent n’avoir absolument aucun désir sexuel. Il ne s'agit évidemment pas d'une résistance volontaire, parce qu’a priori les asexuels n'ont pas choisi cette orientation. Cependant, le fait de pouvoir revendiquer son asexualité aujourd'hui (en étant entendu, et compris) constitue déjà une résistance àl'hypersexualisation de la société.
4) La demisexualité La demisexualité est le fait de n’être attiré sexuellement par quelqu’un-e que lorsqu’une certaine confiance, un certain degré d’intimité s’est installé entre les personnes. Les personnes demisexuelles ont donc besoin d’un lien émotionnel fort avec quelqu’un-e pour être attirées sexuellement par celle-ci. La demisexualité n’est cependant pas synonyme d’un manque de libido. Les personnes demisexuelles ont un comportement différent face à la notion de relation sexuelle et n’en ont pas la même approche, au-delà de toute notion d’envie, de non-envie ou de libido. La demisexualité est une forme d’orientation sexuelle qui dispose de son propre drapeau, tout comme les autres formes d’orientation sexuelle. 5) La sapiosexualité les sapiosexuels disent être uniquement attirés par l’intelligence de leurs partenaires. Ça ne veut pas dire qu’ils et elles ne font pas l’amour, ou seulement de manière cérébrale. Mais cette préférence met le corps à distance, et rappelle que pour certains d'entre nous, le charnel peut, doit, passer après des sentiments perçus comme "plus élevés". Face à une société qui encourage un investissement extrêmement fort du corps - voire sa marchandisation - dire qu'on a des priorités qui dépassent les apparences, c'est une manière de marquer sa différence – et éventuellement sa supériorité.
Source : https://www.koolmag.fr/sexe/le-jeune-sexuel--quelques-semaines-d-abstinence-pour-un-plaisir-decuple--758845
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